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Kaléidoscopique Brenda Blethyn

Dernier ouvrage paru, cet essai consacré à l'actrice anglaise Brenda Blethyn, bien connue pour son personnage de Vera Stanhope dans Les Enquêtes de Vera, série policière diffusée sur France 3, est une longue et poétique déambulation dans la filmographie de l'actrice anglaise.

En vente sur ce site (aller à la boutique).

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Catherine Renée
Lebouleux
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Auteure, Catherine Renée Lebouleux a mené de nombreux projets au sein de calisto-235 qu'elle fonde en 2007 sous la forme d'abord de Culture et musiques en liberté puis calisto-235 éditions et qui poursuit de nombreuses actions jusqu'en 2021.

Ses domaines de spécialité (histoire culturelle et sociale, théâtre, opéra et spectacle vivant) conjugués à sa passion pour la poésie, la littérature et la musique lui permettent d'aborder un large éventail de moyens d'expression qui se sont développés après une toute première carrière de chorégraphe.

Ses  "Territoires de passage" sont irrigués par le concept de culture nomade qui traverse un parcours éclectique mais toujours guidée par la curiosité, la découverte et une pensée en mouvement.

En parallèle à ses activités d'écriture, Catherine Renée développe un projet éco-durable en Charente maritime (Azienda La Callisto).

BIOGRAPHIE COMPLETE

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A propos de nomadisme

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Le nomadisme n’est pas seulement un mode de mobilité physique, « selon la lecture que Deleuze fait de Nietzsche, il est une forme de pensée qui suit une ligne de fuite qui ne se laisse pas prendre dans les mailles des forces institutionnelles. »

Fabrice Raffin

La pensée nomade et les nouvelles mobilités artistiques contemporaines

« On est devenu soi-même imperceptible et clandestin dans un voyage immobile. Plus rien ne peut se passer, ni s’être passé. Plus personne ne peut rien pour moi ni contre moi. Mes territoires sont hors de prise, et pas parce qu’ils sont imaginaires, au contraire : parce que je suis en train de les tracer. Finies les grandes ou les petites guerres. Finis les voyages, toujours à la traîne de quelque chose. Je n’ai plus aucun secret, à force d’avoir perdu le visage, forme et matière. Je ne suis plus qu’une ligne. Je suis devenu capable d’aimer, non pas d’un amour universel abstrait, mais celui que je vais choisir, et qui va me choisir, en aveugle, mon double, qui n’a pas plus de moi que moi. On s’est sauvé par amour et pour l’amour, en abandonnant l’amour et le moi. On n’est plus qu’une ligne abstraite, comme une flèche qui traverse le vide. Déterritorialisation absolue. On est devenu comme tout le monde, mais à la manière dont personne ne peut devenir comme tout le monde. On a peint le monde sur soi, et pas soi sur le monde. »

Gilles Deleuze, Felix Guattari
Mille Plateaux, Trois nouvelles ou “Qu’est-ce qui s’est passé ?”, p.244 – (Paris, Éditions de Minuit, 1980)

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